226 - La Calédonie du 18 décembre 1899 : Mon programme.
227 - Boë arrivant en Nouvelle-Calédonie peu de temps après le retour de Paul Feillet qui avait séjourné en France pendant presque toute l'année 1900, on peut se demander si le nouveau professeur-publiciste n'avait pas été recruté par le gouverneur en personne.
228 - Voir dans la bibliographie les notices relatives à ces titres.
229 - Pour les détails des changements de titre du Bulletin, se reporter à la notice relative à ce journal dans la bibliographie.
230 - Ce détail, je le tiens de la bouche d'André Legras avec qui j'ai pu m'entretenir peu avant son décès. 231 - Dans le numéro 2 du Bulletin, sous le titre Correspondance, Henri Legras répond à une communication signée "L.B." pour s'excuser de ne pouvoir l'insérer, la citation que j'ai faite sert d'explication à cette attitude.
La longue carrière du Bulletin devait être cependant bien plus engagée que ne le laissaient prévoir ses premiers numéros. On lit dans Le Panorama Calédonien du second trimestre 1968 un reportage sur la presse locale dans lequel se trouve la phrase suivante :
" Le Bulletin du Commerce a été trois fois saisi et poursuivi pour délit de presse à quinze reprises différentes. Un record dans les annales de la presse calédonienne."
232 - La raison de la fin de ce journal est l'arrestation de son directeur Maximilien Boë, coupable d'avoir tué sa femme et le "garçon de famille" (bagnard faisant office de domestique) avec qui il la surprit en galante relation.
231 - D'autres décès semblent également concourir à clore cette époque :
- Le R.P. Devès, gérant de L'Écho de la France Catholique, est inhumé le 6 juillet 1902 ;
- Edouard Bridon meurt le 28 décembre 1902 ;
- Julien Bernier, le 3 mars 1903 ;
- Mgr. Fraysse en 1905.