François Ollivaud est décédé le 21 février dernier.

 

Au-delà de la peine que je ressens et partage avec mon épouse, cette triste nouvelle ne m'a pas surpris. François et moi correspondions assez régulièrement par Internet depuis plus de vingt ans et le dernier message qu'il m'a adressé le 14 février était pour le moins inquiétant.

François nous a accueilli à Tontouta, ma famille et moi, en 1974, lorsque je fus nommé au C.E.G. de Bourail, dont il était le directeur, puis en 1988, lorsque je suis revenu en Nouvelle-Calédonie pour enseigner au lycée  Jules Garnier.

Lui et sa femme nous ont rendu visite à plusieurs reprises : la première fois c'était au Maroc, il nous a laissé la cassette dédicacée que j'ai choisie pour illustrer cette page ;  les autres fois, c'était chez nous, en Charente-Maritime.

Entretemps, à Bourail et à Nouméa, combien de joyeux moments avons nous partagés !

Depuis notre retour définitif en métropole, il est le seul, sur "le Caillou", avec qui j'ai correspondu régulièrement .

J'ai perdu un ami, un véritable ami qui reste à ce jour la personne la plus extraordinaire qu'il m'ait été donné de rencontrer.

Toutes mes condoléances à Danièle, à leur fille et à leur fils, ainsi qu'à leurs petits enfants.

 

Georges Coquilhat